- Arrêtez de vous prendre
pour eux. Vous commencez dans ce sport? Sachez qu’il est complexe et qu’il
nécessite, comme un plongeur, des répétitions et des répétitions des mêmes
mouvements, des heures et des heures d’entrainement pour ne pas causer
d’éclaboussure dans la piscine et dans votre cas, cela peut s’agir d’une
chute causant à vous ou à d’autres de graves blessures. Capich?
- Soyez humble.
Entourez-vous de cyclistes plus expérimentés qui vous donneront des
conseils et des trucs pour améliorer votre tenue de route. Écoutez-les et
arrêtez de les obstiner et de vous trouver mille et une excuses pour
expliquer vos maladresses. Écoutez, tentez de comprendre et mettez en
application leurs consignes, point à la ligne!
- Allez chercher de la
rétroaction auprès de ces personnes et passer de nombreuses heures en
selle à pratiquer ce qu’elles vous conseillent de faire.
- Sortez avec des gens de
votre calibre. Faites attention à ces gérants d’estrade autour de vous, qui
ne connaissent rien au vélo, et qui vous diront que vous êtes prêt à rouler
dans le groupe de vitesse supérieur à ce que vous êtes habitué. Ah remarquez que cela est peut-être possible
aussi, mais si vous n’êtes pas capable d’en rouler 50 tout seul à un ou deux kilomètres heures de moins que la vitesse moyenne souhaitée, bien oubliez cela! Vous n’êtes pas rendu là tout simplement. Si vous vous entêtez à le faire, vous allez être stressé face à ces cyclistes plus rapides que vous, vous allez être tendu
mentalement et surtout physiquement. Vous risquerez de causer des
accidents sans vous en apercevoir et vous passerez pour un dangereux qu’on ne voudra plus jamais
avoir dans son peloton! Est-ce ce que c’est cela que vous voulez?
- Roulez et roulez des
heures et des heures. Il faut que vous en arriviez à rouler à toutes les
vitesses et efforts avec calme et confiance. Il faut que vous maîtrisiez
la conduite de votre vélo dans toutes les positions de conduite avant de
vous aventurer dans les pelotons. La règle d’or est d’être détendu sur son vélo,
car si celui-ci est un vrai bolide comme vous ne devriez peut-être ne même
pas avoir, il aura des réactions que vous ne saurez pas maîtriser. Seules
les nombreuses heures en selle vous permettront de bien comprendre ses
réactions et d’acquérir cette stabilité et fluidité sur la route. Vous
voyez ce que je veux dire? De ne pas avoir l’air de ceux qui zigzaguent
sur le chemin à chaque coup de pédale, parce qu’ils n’ont pas encore maîtrisé
le parfait coup de pédale qui marie puissance, souplesse et fluidité!
- Vous devez boire en
roulant sans avoir peur, remettre votre bouteille dans son porte-bouteille
sans le regarder trop longtemps, au risque d’entraîner tous vos
amis(e) au sol pendant que vous le remisez. Ah oui, on ne boit pas la main dans les drops du guidon ou
sur les cocottes. On boit en stabilisant la conduite de son guidon sur la
barre horizontale à mi-chemin entre la cocotte et la potence. La seule
façon de garder l’équilibre d’une main en conduisant, si jamais vous passez
dans un trou ou une craque imprévisible. C’est la même technique qui
s’applique lorsque vous devez aller chercher de quoi dans vos poches arrière.
Si vous ne maîtrisez pas cela, demandez un arrêt. Ce n’est pas le temps de
pratiquer cela en peloton Bon Dieu! Dans le même ordre d’idée, arrêter de
regarder constamment votre cassette arrière pour savoir sur quelle vitesse
vous êtes. Apprenez à changer de vitesses instinctivement selon vos sensations dans votre coup de pédale. Cette habilité à changer de vitesse au bon
moment pour garder la cadence est le trait qui caractérise le mieux le
cycliste d’expérience. Autre chose vous rendant très dangereux sur la
route, arrêtez de consulter à tout moment vos équipements sensoriels sur
votre guidon cibol! Quand je vois cela le monde checker leurs fréquences
cardiaques, alors qu’ils s’en vont tout croche!
- Regardez toujours en avant
ou rarement sur les côtés (max 45 degrés) au besoin, mais jamais en
arrière. Vous êtes responsable en quelque sorte de la sécurité de vos
arrières et pour ce faire, vous devez rouler à vitesse constante et ce
n’est pas en regardant en arrière que vous allez y parvenir. Surtout que les inexpérimentés changent de direction en regardant en arrière! C’est en
demeurant concentrer sur le rythme du peloton, sur le terrain qui s’annonce
devant lui tout en prévoyant la réaction de celui que vous suivez, que
vous réussirez à assurer votre sécurité et de celui qui vous suit.
- Si vous regardez en avant
comme il faut, vous parviendrez avec le temps à analyser
le terrain qui s’en vient sans même que le cycliste ne vous signale les
trous, parce que vous deviendrez habitué à voir le pavé qui vient au bas
des aisselles du cycliste que vous suivez. Puis, si c’est vous qui êtes
surpris par une imperfection de la route à la dernière minute et que vous
n’êtes pas capable de sauter par-dessus, bien passez dedans en vous
reculant légèrement sur votre siège pour alléger le poids de votre vélo à
l’avant. Vous ne l’avez jamais fait? Bien, faites-le en entrainement.
Sauter par-dessus les obstacles que vous connaissez bien. Pas compliqué, c’est
plein de trous icitt!. Ne faites surtout pas des virages brusques pour
éviter un trou ciboirrrr. Tout doit s’éviter progressivement. Ça fait que
regardez en avant. Le cycliste à l’arrière, s’il est intelligent, suivra progressivement
lui aussi votre changement de direction et verra ce trou lui aussi,
passera à côté et comprendra pourquoi vous vous êtes déplacé doucement de
la sorte. Il appréciera votre roue et vous le mettrez en confiance. Il
dira à tous ses amis que vous êtes une bonne roue. Je n’en reviens tout
simplement pas de voir encore des cyclistes d’expérience donner des coups
de guidon à la dernière minute pour tout et rien! Ils font sursauter le
cycliste qui les suit et risquent à tout bout de champ de l’amener au sol!
Zigzaguer sur une bicyclette est une habilité de cirque, pas de peloton
ok?
- Faites une légère
accélération ou augmentez votre vitesse assis un peu avant de vous lever
en danseuse sur votre bike pour que celui-ci ne recule pas ou s’immobilise
momentanément lorsque vous vous levez. Et si vous aimez dire Up avant de
vous lever, dites-le donc avant de vous lever. Cette technique devient
particulièrement cruciale et importante lorsque vous vous exécutez dans le
début d’une montée alors que tout le monde arrive en pleine vitesse par l’arrière
et qu’ils n’ont pas encore compris que vous êtes en déficit d’effort…j’en
vois encore qui disent Up en même temps qu'ils se lèvent fiou!!! Pour atténuer
ce risque, suivez toujours votre roue légèrement à l’arrière sur la droite
ou la gauche de celle-ci, de sorte que s’il y a changement de rythme inattendu
de sa part, vous vous retrouverez sur les côtés de sa roue et non dedans!
- Arrêtez de placoter à moins que vous soyez entre amis intimes en balade du dimanche sur une route déserte. Vous raconterez comment ont été vos dernières vacances autour d’un verre après la ride. Pour ceux qui me connaissent, est-ce que vous m'entendez placoter durant une ride? J’ai 30 ans d’expérience et je la ferme quand je roule au train! Pis, quand j’en ai un qui veut me faire la conversation, j’adopte une attitude polie, désintéressée, qui coupe court à la conversation! Serez-vous gêné de la faire à l’avenir? J’espère que non.
- Savez-vous pourquoi on
appelle « donner ou prendre un relais » pour un changement de
cycliste à la tête d’un peloton? C’est parce que celui qui prend le
relais, le prend sans accélérer et celui qui le donne le donne pour ne pas
se faire « Câlisser une mine (accélération) dans face! Comprenez-vous
cela? Relisez-la cette phrase pour être bien certain de l’avoir bien comprise
SVP. Ça fait que les Égos forts qui veulent prouver à tout le monde qu’ils
sont capables d’élever le rythme, qu’ils veulent montrer qu’ils sont en
forme doivent se calmer le pompon. En accélérant de la sorte, vous créez
un élastique en arrière et vous compliquez la tâche à votre relayeur afin
qu’il ait le temps de bien s’installer en arrière de la file. Vous voulez encore
passer pour un cycliste qui sait rouler? Qui a de l’expérience? Bien,
regardez la vitesse que le relais vous a été passé et maintenez cette
vitesse pendant le temps qu’il lui faudra pour s’installer à l’arrière et
vous accélérerez que doucement et progressivement, seulement si personne
ne crie moins un et qu’il règne une entente implicite dans votre groupe à
supporter votre rythme. Je n’ai pas dit « Coco » de faire
exploser le groupe à tout coup que tu prends le relais! Ton expérience te
dira jusqu’à quelle vitesse tu peux élever le rythme. Encore là, si vous
respectez cette règle, on vous appréciera. On dira de vous que vous êtes
un excellent rouleur, un gentleman. Que vous savez rouler plutôt qu’un
tabarnac qui ne comprends jamais rien et qu’on ne veut plus avoir dans son
groupe, parce que vous foutez la marde constamment. En conclusion, cela
veut donc dire que le peloton peut rouler légèrement à différentes
vitesses en harmonie avec les capacités de ses membres. Cela signifie que
les plus faibles devront forcer peut-être un peu plus que les plus forts
et si la moyenne recherchée par le groupe au départ est respectée, malgré
ces petits changements de rythmes bien normaux, bien tout est ti-guidou quant
à moi! Si cela ne fait pas votre affaire et que vous décrochez constamment
à ces changements de rythme, vous n’êtes pas dans le bon groupe et
l’encadreur pourrait vous inviter à vous laisser redescendre dans le
groupe suivant. Un cycliste qui est dans le bon groupe ne se formalise pas
de ces changements de rythme bien calculé qui font partie d'une sortie en bonne et due forme. Je ne vois pas pourquoi un groupe
entier serait pénalisé par quelqu’un qui ne s’est pas bien évalué avant de
partir comme je l’ai mentionné plus tôt.
- Un bon peloton composé de
cyclistes d’expérience se respectent entre eux, même s’il peut être
composé de maillons parfois plus faibles. On garde sa position dans le
peloton en arrière de celui qu’on suit, et on laisse le meneur donner le
rythme qu’il est prêt à supporter, sur le plat, dans une montée comme DANS
UNE DESCENTE. ARRÊTEZ de vouloir vous mettre en évidence en voulant
prouver que vous êtes le meilleur grimpeur ou descendeur de la gang! Si c’est
votre but, prenez votre licence à la Fédé et allez courir sur le circuit
amateur du Québec ou inscrivez-vous à toutes les cyclos qui existent. Y en
a en masse! Vous allez avoir les conditions idéales pour tester ce que
vous valez. Je vous rappelle que le but recherché dans un club est de
rouler en groupe à une vitesse qui nous convient en toute sécurité. Cette
règle devrait prévaloir sur les parcours de semaine et de fin de semaine
qui sont souvent sur des reliefs variés, c’est-à-dire avec des côtes et
descentes mais de courtes distances. Ces parcours sont souvent plus techniques que
les longues montées qu’on peut faire lors des voyages de fin de semaine ou
sur de rares parcours dans la région de Québec offrant de longues montée et
descentes. Je m’explique. Si le peloton monte le chemin de la bute à Saint-Augustin-de-Desmaures,
la côte du lac Saint-Joseph, qui est étroite et très passante, les faux
plats du Petit Capsa, les bosses de la route des Érables, les petites
montées du chemin de la Grande ligne, vous voyez un peu de quels reliefs et
difficultés je parle, bien le peloton devrait garder sa formation sur
toute sa montée. En fin de semaine dernière par exemple, avec un peloton un peu plus fort que moi, je me suis souvent retrouvé à l’avant face à
des montées et j’ai évidemment gardé le relais, ce qu’il faut faire d’ailleurs
en ces circonstances, pour ne pas à se retrouver soudainement à l’arrière pour s’accrocher à un relais plus fort que le sien. Or, personne ne m’a passé et dieu sait que j’étais accompagné
de « Beef » qui aurait pu me déposer là n’importe quand! C’est
mon relais, je l’ai pris accoté comme je le voulais et on a respecté mon rythme.
Voilà un bon peloton! Nous sommes arrivés sur la 105 aux State la semaine
dernière sur une montée de 11 kilos, nous serions arrivés sur la montée de
St-Tite l’autre côté de Saint-Féréol, la montée du Lac Sergent sur le
retour de St-Raymond, sur la côte de l’église à Val-Bélair, bien là c’est
toute autre chose! Fuck la Gazelle, on se retrouvera en haut mon homme,
non pas à un rythme de course dans le sens que tout le monde « s’ennarve »
en bas à trois de large en danseuse pour se swinger dans côte!! Non non!
On passe le meneur du peloton à la file indienne ou sur un dépassement sécuritaire
et serré, un à la fois sur tous et chacun, n’oublions pas que nous sommes
sur une nationale et que des autos peuvent s’en venir de l’arrière. On s’attendra
en haut. Il s’agit d’une longue difficulté qu’il est bon de monter à son
rythme, de se défier intelligemment et voir comment on peut se comporter
dedans et dans laquelle on ne devrait pas entendre l’encadreur crier après
tout le monde de ralentir. Seulement dire, « on s'attend en haut gang! »
- Même chose dans une descente. On se retrouve dans la descente de la côte de St-Félix à Cap-Rouge, les trois bosses des Équerres, la même côte du Lac St-Joseph, la côte Gagnon ou des descentes abruptes sur courtes distances, idéalement le meneur du peloton à ces sommets devrait être un bon descendeur, puis si ce n’est pas le cas, qu’il se tasse et laisse sa place à un quelqu’un de plus rapide, mais le peloton une fois engagé dans la descente garde sa formation! Pas question de dépasser qui que ce soit. On applique un léger freinage si le peloton ne descend pas assez vite. Cette règle de conduite fait également partie des bons rouleurs, des bons pelotons sécuritaires. On respecte le meneur de peloton dans la descente comme dans la montée de tantôt. N’oubliez pas qu’il mouline à l’avant lui là dans le vent pour vous donner de la vitesse à l’arrière alors que vous « drafter ». C’est pour cette raison qu’il ne faut pas chercher nécessairement à prendre le « lead » si vous n’êtes pas du genre à descendre rapidement. C’est votre relais? Vous y tenez? Vous y allez, good, alors mesdames et messieurs, respecter votre meneur même s’il est lent et adaptez-vous à son rythme! ARRÊTEZ de sortir sur les côtés de votre roue pour venir le stresser! Vous n’avez pas d’affaire là. CAPICH? Si cela se produit, c’est que vous ne savez pas rouler et n’êtes pas capable d’appliquer ce léger freinage pour garder votre place en file indienne dans la descente. Bon, la route est large, la descente est très longue et sécuritaire, même si c’est plus dangereux qu’en montée, le peloton est composé de cyclistes d’expérience, il y a toujours moyen de donner du lousse à certains d’entre eux, qui voudront se laisser aller totalement dans la descente en leur laissant l’opportunité d’effectuer des dépassements tout aussi sécuritaires et serrés qu’en montée pour évidemment ne pas prendre toute la voie bien sûr. C’est ce qui s’est produit avec ma formation sur la descente de Jay Peak dans le Vermont en fin de semaine dernière sur 8 kilos. Étant tous des cyclistes d’expérience, les plus prudents sont demeurés à l’arrière et les plus audacieux se sont laissés aller à tombeau ouvert. Si nous avions eu un encadreur pour nous dire de garder notre formation, cela n’aurait pas marché. Encore là, on s’est regroupé en bas pour reprendre notre formation. Sur plein d’autres descentes, la totalité je dirais, nous avons toujours respecté notre meneur de peloton. Et si malgré cela, on en a perdu quelques-un, parce que le peloton a été un peu trop rapide pour eux, nous les avons attendus en bas. Ce n’est pas plus compliqué que cela.
------- _-\ <,' Aussi un rouleur!
----- (_)/(_)
Très bel exposé, mon Bob! Rempli de bon sens!
RépondreSupprimerL'acquisition de l'expérience est toujours un long processus où l'observation et l'acceptation des commentaires de plus expérimentés que nous aident à faire de nous de meilleurs cyclistes.
Merci pour ce riche texte!
Hugues Lunardi
De rien mon cher Hugues. Tu as entièrement raison. Cela prend du temps et il ne faut pas se gêner pour donner des conseils. Au plaisir de rouler avec toi très bientôt
SupprimerJulie Gagné a dit "Ce que j'aime de ton texte c'est qu'il met le doigt sur des choses que j'essaye tellement d'améliorer!"
RépondreSupprimeret je lui ai répondu "Tu respectes déjà une des principales règles. Tu fais preuve d'humilité. Tu veux t'améliorer et tu sais reconnaître tes faiblesses. Tu vas y arriver. Ne sois sans crainte. Cela va venir avec le temps et le désir que tu y mets. Lâche pas Julie "
SupprimerBon article très complet coach! Ce serait bien d’en faire un résumé, genre les 12 commandements, qui pourrait être présenté de temps à autre à tous les cyclistes, expérimentés ou non. Ça constituerait un bon rappel des consignes de sécurité et du fairplay en cyclisme, car on a tous tendance à en enfreindre un ou deux de temps à autre…
RépondreSupprimerOuin tu es exigeant mon JP. Je le sais que je suis mémère. C'est mon style. Qui sait? Peut-être le ferais-je? Mais si tu veux le faire pour moi, sens-toi bien à l'aise. Je vais le mettre dans l'article ou en faire un nouveau post juste pour toi :-)
SupprimerJacques Gagnon a dit " Bob vraiment bon , comme tu sais je suis en parfait accord avec ton article, j'espère que beaucoup de monde prendront le temps de le lire et de comprendre le sens MERCI .
RépondreSupprimerJ'ai dit "Merci Jacques. Je me doutais bien que tu en partagerais le point de vue. En effet souhaitons que beaucoup de monde y puise une source de motivation et d'inspiration
SupprimerGeneviève Ajas a dit "Je viens de lire ton article avec le plus grand intérêt et j'appuie et le partage ! Merci bob "
Sylvie Milman a dit "Génial Robert ce que tu as écris. C'est impossible de ne pas se reconnaitre en quelque part dans tout ça!!! Surtout si on regarde comment on évolue comme cycliste avec l'expérience. Si jamais tu fais les 12 commandements faudrait ajouter peut-etre selon mon expérience personnelle.... pas de bouteille d'eau régulière... ou gaterade sur les portes bouteilles, pas d'écouteur à vélo, pas de textage, pas de manteau ouverts complètement qui battent au vent et qui cache les signes du cycliste de devant et surtout pas de grattage de torse des deux mains pour montrer qu'on est plus fin que les autres et qu'on sait comment bouger le vélo avec les hanches... pis le dépassement par la droite grrrrrrr..... Le jasage ca me rend folle!!!! Ton article est vraiment bon! Je me suis reconnu plusieurs fois dans le bon et dans le mauvais!!! Tu fais le vidéo avec ça? "
RépondreSupprimerBravo Robert, c'est une oeuvre utile à partager. Au delà de la technique largement expliqué dans plusieurs articles, ton texte traite de l'atitude sur le vélo est c'est exactement ça qui fait toute la différence. Pertinent, clair et complet. merci.
RépondreSupprimerSimon Julien
Merci du commentaire Simon. Toujours heureux de te compter parmi mes lecteurs assidus. J'espère que t te portes bien et que tu as toujours le temps de rouler à ton goût
Supprimeramen
RépondreSupprimerJe ne connais qu'une personne qui ait tant de spiritualité à exprimer, mais je la nommerai pas
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