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mercredi 20 juin 2018

Résultat du sondage sur le projet de la ville de Québec pour une passerelle cycliste dans le Vieux-Port


Voici comment j’ai encouragé la communauté cycliste de Québec à répondre à ce petit sondage que j’ai mis en ligne sur les réseaux sociaux cette semaine.


Texte de présentation 

« Le nouveau projet de passerelle à vélo dans le Vieux-Port de Québec fait beaucoup jaser. Certains trouvent que celui-ci ne réglera pas les problèmes de congestion automobile dans le vieux port et d'autres pensent qu'il en coûtera beaucoup trop cher pour cette infrastructure (8 à 10 millions). En réaction aux doutes exprimés par Jonatan Julien et Jean Rousseau de l'opposition rapportés dans le journal de Québec aujourd'hui (19 juin 2018), à savoir qu'il n'est pas certain que les cyclistes l'utiliseraient, le maire Labeaume a rétorqué qu'ils n'avaient pas entendu beaucoup de cyclistes s'y opposer.

Sachant que le cycliste a droit de passage et d'usage à la voie routière sur la rue Dalhousie tout autant que les voitures, on est en droit de se demander s'il utilisera cette passerelle pour répondre à ses besoins de déplacement à vélo; qui sont d'ordre récréatif et familial pour visiter Québec (voir les bateaux ou profiter de la vue sur les quais), utilitaires pour ses déplacements quotidiens ou cyclo sportifs pour emprunter la rue Dalhousie comme voie de transit entre la Promenade de Champlain, Limoilou et les districts de Québec-Est (Beauport et la côte de Beaupré). Or, si plusieurs cyclistes décident de ne pas l'utiliser pour diverses raisons, peut-on penser que cet investissement ne résoudra pas le problème de congestion automobile ou de cohabitation entre cyclistes et automobilistes?

Enfin, cette entrée en la matière ne prétend pas soulever tous les aspects de la problématique, mais cela m'a bien fait sourire lorsque monsieur Labeaume a dit que tous les cyclistes l'utiliseront.
C'est pour cette raison que je vous invite à répondre à ce petit sondage qui n'a rien de scientifique pour plusieurs raisons, mais là n'est pas la question. UTILISEREZ-VOUS CETTE PASSERELLE POUR VOS DÉPLACEMENTS À VÉLO? Ce serait bien qu’il soit répondu par un très grand nombre de cyclistes de la région de Québec. »
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Disons au départ que les commentaires furent nombreux suite à mon invitation. Les gens auraient souhaité que je sonde plus d’aspects concernant le projet; coûts, architecture, sécurité, itinéraire, coûts/bénéfices, etc. Il faut comprendre que je l’ai fait dans la seule optique de tenter de savoir si les gens l’utiliseraient ou pas, parce que c’est sur cet aspect seulement que j’ai accroché en lisant le journal tout en mangeant ma toast le matin. Puis je fais cela pour le fun, alors que si j’avais été rémunéré pour l’exercice, bien nous aurions pu certes vérifier la perception des gens sur plein de choses. Donc ne soyez pas trop sévères dans vos jugements :-)

D’autre part, ce sondage n’est pas le reflet réaliste de la population cible, c’est-à-dire de tous les gens qui utilisent leur vélo pour quelque motif que ce soit. Pour ce faire, il aurait fallu que je m’assure que les répondants rejoignent équitablement les différents segments de cyclistes, idéalement selon l’âge et le sexe et bien autres critères. Un peu comme font les firmes de sondage lorsque vient le temps de sonder les intentions de vote de la population du Québec. On tient compte des régions, races, âges, etc.

Cependant à mon crédit, même si ma petite enquête ne respecte pas ces règles méthodologiques strictes, elle a rejoint tout de même un assez bon échantillon de cyclistes de différents types comme vous pourrez le voir. Et comme l’objectif est de sonder la communauté cycliste qui circule le plus souvent en ville, particulièrement dans le Vieux-Port et connaître essentiellement leur opinion par rapport à leur volonté ou pas d’utiliser éventuellement cette passerelle, selon le peu qu’ils en savent, j’estime que mon sondage permet de dégager certains constats qui seraient ressortis de toute façon à l’intérieur d’une approche plus scientifique.

Segments de cyclistes sondés

Les ratios suivants illustrent le profil de l'échantillon de nos cyclistes sondés. J'ai recueilli plus de 200 répondants en 2 jours sur diverses pages Facebook fréquentées par les cyclistes de touts genres. Pour ceux qui sont familiers avec ce genre d'exercice, conviendront que c'est suffisant comme échantillon pour se faire une bonne idée. Ces 200 répondants furent déclinés en plus de 250 profils.

Rappelons que "l'utilitaire" est celui qui utilise son vélo pour aller travailler ou pour faire ses courses (achats), le "récréatif", celui qui l'utilise plus pour le plaisir, pour se balader et visiter le Vieux-Port, et enfin le "sportif", celui qui fait du vélo pour s'entraîner et améliorer sa condition physique. L'homme et la femme tout de lycra :-) 

Habitude d'aller faire du vélo dans le secteur du Vieux-Port de Québec selon le type de cycliste

La figure qui suit présente les motifs de déplacement à vélo de nos différents segments de cyclistes.

Ainsi, de façon générale (bleu), 12 % des cyclistes sondés transitent par le Vieux-Port pour leurs déplacements utilitaires. Il n'est d'ailleurs pas surprenant d'observer qu'ils sont 22 %  chez les utilitaires à s'y rendre beaucoup plus que le récréatif (10 %) et encore un peu plus que chez le sportif (9 %) moins porté par l'usage de son vélo pour des déplacements utilitaires.

À l'inverse 54 % des cyclistes récréatifs s'y rendent quelques fois en été pour s'y balader alors que 59 % des sportifs font de même pour s'y entraîner. Ces ratios de cyclistes se rendant dans le Vieux-Port m'a un peu surpris, mais à titre de cycliste sportif depuis plus de 35 ans, l'environnement avec la promenade de Champlain qui connecte avec la piste cyclable de Beauport en passant par le Vieux-Port est devenu très attrayant pour tous les cyclistes. C'est ainsi que les villes se développent.


Utilisation des voies cyclables actuellement dans le Vieux-Port

La figure qui suit nous informe sur les habitudes de déplacement des cyclistes aux Vieux-Port dans les conditions actuelles. 

De façon générale, toujours en bleu, 22 % des cyclistes empruntent uniquement la rue Dalhousie pour passer par le Vieux-Port. Les utilitaires (24 %) et les sportifs (23 %) sont évidemment plus nombreux à le faire étant moins contemplatifs.

Moins d'un cycliste sur 4 utilise actuellement uniquement la piste cyclable (23 %) et encore là, il est comme normal que 32 % des cyclistes récréatifs le font compte tenu du motif qui les attire dans le Vieux-Port. Cependant, plus de la moitié des cyclistes (56 %) nous confirment faire usage des deux voies (rue Dalhousie & piste cyclable) selon la nature de leur déplacement, somme toute normal dépendamment du point d'arrivée et de départ du cycliste. De plus, dans l'invitation au cycliste à répondre sur le type de cycliste qu'il était, certains d'entre eux ont sélectionné plus d'un choix, c'est-à-dire qu'ils ont pu répondre qu'ils pouvaient être à la fois un sportif et un utilitaire, un utilitaire et un récréatif, etc. Son profil de réponses à ses habitudes a donc été crédité aux profils qu'il a choisis; la raison des 250 quelques profils.


Intention future du cycliste par rapport à l'usage éventuel de cette passerelle

Malgré le caractère attrayant et les avantages que cette passerelle pourrait offrir à tout le moins en termes de sécurité (Lire à l'abris de la circulation automobile), il y aurait près d'un cycliste sur 5 (18 %) qui ne l'utiliseront jamais. Ils sont légèrement plus nombreux chez les utilitaires (20 %) et chez les sportifs (21 %).

25 % des cyclistes ont avoué qu'il l'utiliserait assurément pour tous leurs déplacements, et ce, principalement chez le cycliste récréatif (37 %).

Mais comme je savais que je ne l'utiliserais pas nécessairement moi-même à chaque fois que j'y passerais, le but de ma sortie à vélo peut varier d'une fois à l'autre même si je suis du type sportif, J'ai cru bon poser la question aux cyclistes de type sportif ou utilitaire s'ils seraient tout de même disposés à l'utiliser de temps à autres. Or dans les circonstances, de fortes proportions de cyclistes n'ont pas exclu qu'ils ne l'utilisent pas, mais pas pour les raisons principales qu'ils font du vélo. Ainsi, 32 % des cyclistes en général ont exprimé le souhait de la prendre occasionnellement, mais sans pour autant exclure la possibilité de prendre la rue Dalhousie pour leur besoins de déplacements utilitaires. De la même façon que 33 % des sportifs sondés n'excluent pas la possibilité de la prendre en d'autres occasions que lors de leurs séances d'entrainement.

Si on considère que les cyclistes ne se comporteront pas totalement pour ou totalement contre l'usage de la passerelle, il faut comprendre qu'il y aura encore beaucoup de cyclistes qui vont transiter dans le quartier en empruntant la rue Dalhousie, d'autant plus que nous sommes dans une ère où la pratique du vélo est en croissance. 


Pour terminer, j'ai tenu à valider d'une autre façon les intentions des cyclistes quant à l'usage de la passerelle en leur demandant d'estimer en pourcentage le nombre fois qu'ils l'utiliseront si jamais cette passerelle voyait le jour.

On y constate une grande similitude dans les chiffres et on voit que les utilitaires et les sportifs seront les plus récalcitrants à cette innovation en raison des leurs intérêts à traverser le quartier du Petit-Champlain le plus rapidement possible...comme les automobilistes d'ailleurs.



En conclusion, j'ai comme l'impression que c'est une infrastructure qui pourrait s'avérer dispendieuse pour l'usage qu'on en fera et surtout, qui soulèvera certainement la critique de la population en général pour ne pas avoir résolu le problème des automobilistes de nous voir hors de leur vue sur Dalhousie, même si nous y avons totalement droit d'accès.




Coach BOB la gazelle!
--------- __o
------- _-\ <,' 
Aussi un rouleur!
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vendredi 8 juin 2018

Sport’s addiction

Excès dans le sport

J’ai du millage au compteur. La forme est là, malgré mes ptits bobos qui, au fil du temps, viennent m’incommoder. Je vieillis c’est sûr. Je n’ai plus forme d’antan. Mes meilleurs résultats Strava sont depuis longtemps inatteignables. À vrai dire, je m’y éloigne toujours plus, année après année. Je me console en me disant que tous les gars et filles de mon âge sont frappés par cette dure réalité. On ne peut plus revenir en arrière. Il faut juste regarder en avant.

Cela fait deux jours qu’il ne fait pas beau. Je ressens le ressac de l’inactivité. Comme somnoler de bonne heure en soirée parce que je n’ai rien demandé à mon corps dans la journée. Il n’a pas reçu sa dose d’endorphine. Je ne me sens pas vraiment bien intérieurement. Je me couche le soir un peu anxieux. Je me demande ce qu’il fera demain. Va-t-il faire beau? Mon programme est tout chambarder. J’aurais tellement souhaité travailler ma position en souplesse sur faux plat montant, vérifier ou j’en suis en résistance sur un plus gros braquet. Puis, s’il ventait moins, peut-être souhaiterais-je aller chercher du dénivelé? Il me semble que cela fait un ptit bout de temps que j’en n’ai pas fait. Je sais qu’il faut que je m’y remette. Je sais que j’ai des sorties qui s’en viennent, qui m’en demanderont.

J’ai une grosse journée de travail demain. Comment vais-je m’y prendre s’il fait beau? J’ai de la misère à m’endormir. Mon esprit voyage entre une ascension dans un col et ce travail complexe pour un client que je n’arrive pas à finir, parce que je surfe constamment sur la météo à la recherche d’une percée de soleil. Il est minuit, je vire en rond encore parce que je ne sais pas comment je vais entreprendre ma journée demain.

6h du matin. Mon réveille sonne. C’est mon heure de lever. Le temps s’est semble-t-il éclairé. En sirotant mon café, Météo Média annonce un dégagement en PM avec un peu de chaleur, mais le mauvais temps revient les jours suivants!! Christ de calice! Mais dans quel pays de merde vivons-nous? Mon disque dur tourne à pleine vitesse. Comment vais-je m’organiser? Ma blonde me demande si je veux un smoothie? Heu Heu…quoi? Oui oui chérie. Je ne suis pas vraiment là. Heureusement, elle le sait ce que je mijote. Elle vient d’entendre la météo à radio Canada elle aussi. Elle sait ce que ça veut dire pour moi et pour elle aussi tant qu’à faire. Sans que je m’en sois aperçu, elle a fini de déjeuner. Son manteau sur le dos, elle vient m’embrasser pour me souhaiter bonne journée.

Il est 7h30. J’ouvre mon ordi. Je sors cette job à faire. Je suis tout excité à la seule pensée que je pourrai sortir. Je me raisonne. En ni un ni deux, il est 10h. Je me suis pas mal avancé. Je dirais pas mal plus que je ne l’aurais cru. C’est donc l’heure de la pause. Je l’ai mérité. Je cale un grand verre d’eau. Je descends en bas. Je monte mon bike à l’étage. Je gonfle mes pneus, huile ma chaîne et prépare mes bouteilles. Bon, je suis prêt! Je retourne à mon travail. Je vais essayer d’en faire encore un peu. Mais je suis vraiment trop distrait. Je manque de concentration. J’ai trop la tête ailleurs. Je ne suis plus vraiment efficace. Je suis quand même trop près du but. Je me raisonne. Allez Robert! Un dernier petit effort.

Il est midi. Que vais-je manger? Quel sera ton programme Robert? Intensité moyenne ou élevée? Est-ce que je fais même bien de me poser la question? Est-ce vraiment utile? Dois-je me faire confiance? Vais-je changer d’idée lorsque j’aurai le cul sur mon bike? Je verrai.

Le soleil est sorti. Cela fait une heure que j’ai mangé. Le temps de choisir mon maillot, m’habiller, mettre ma ceinture de pulses cardiaque qui ne réussit pas à me donner le bon rythme parce que je suis trop énervé, et ça va y être!

14 heures, j’ai réussi à faire ce que j’avais à faire. Le téléphone peut bien sonner. Je n’attends plus rien d’urgent. J’enfourche ma bécane, je mets mon GPS en marche et je pars doucement. Combien de fois ai-je pu faire ces quelques rues pour sortir de mon quartier? Des centaines de fois? Des milliers? Cela ne fait pas deux minutes que je mouline sur le boulevard, que je sais que je vais être dans une bonne journée. Je me sens bien. J’ai le sourire accroché dans face. Mes jambes tournent bien. Pas de douleur de la veille. Je sais que je me dois d’être patient avant de donner le premier effort. Je n’irai quand même pas faire le contraire de ce que je conseille à tout le monde. Je tourne les manivelles à 100 révolutions la minute. Mon cœur prend son rythme aussi. Tout va pour le mieux. J’emprunte le premier rang qui me mène vers le Nord de la ville. C’est à ma première montée que je verrai comment je vais me sentir, comment je vais gérer ma sortie. Est-ce que je cherche à me contenir en roulant relaxe avec des intensités exigées par le parcours ou bien je roule au train selon ce que mon corps me dictera ou me permettra?

Cela fait trop longtemps que je me suis donné. Je me sens tellement bien que ma raison n’est plus en état de prendre les bonnes décisions. Malgré mes premières intentions, je m‘agrippe à mon vélo et je ne lui donne aucun répit. Je commence par me concentrer sur mon coup de pédale, je vérifie ma cadence, 60-70 en montée bien appuyée, j’en ai dedans, 75-85 sur le plat, faux plat ou what ever! ENVOYE mon homme! J’ai peine à me contenir. Ma respiration est sous contrôle, je récupère bien quand c’est nécessaire et aussitôt que je le peux, j’en remets, je reprends à un rythme soutenu ! Durant un court instant, Je ne sais plus, je suis un peu dans le doute. Vais-je résister au rythme que je m’impose? Finalement, je chasse toutes ces idées de mon esprit. Ça va aller. Je demeure confiant. Plus je me donne, plus je mets du braquet, plus ma vitesse de croisière augmente, plus çà fait mal, plus je me dis que c’est normal, et plus je me sens bien. 50 kilos de faits, est-ce que je fais une pause? C’est relativement frais encore à ce temps-ci, j’ai à peine une bouteille de prise, j’ai plein de petits fruits, mes jambes pètent le feu, alors je décide de faire ma « run » de 100 kilos non-stop au train pour ne pas dire bien accotée. Chaque geste de ma part est épié. Chaque difficulté me dicte une position sur le vélo, une façon de  rouler. Je n’y peux rien. Chaque segment de route, chaque passage est scruté à la loupe. Étais-je bien braqué? Me suis-je levé en danseuse au bon moment? L’ai-je enduré jusqu’au sommet? Ai-je accepté de souffrir, aurais-je pu en prendre plus? Ais-je bien géré mon énergie pour bien relancer? Dois-je lever le pied? Des questions qui doivent toutes passer par mon centre nerveux cérébral. Des questions traitées instantanément à la milliseconde par mon bagage expérientiel, par des corrélations, des sensations, des ressentis validés et contre vérifiés dans mon cerveau depuis plus de 30 ans! Si je détecte une erreur, un manquement à quelque chose, je m’efforce d’y remédier dès la prochaine occasion. Rien n’est laissé au hasard!

J’arrive près de chez moi. L’entrainement est terminé. Je ralentis et je m’assure de rentrer à la maison en toute sécurité. Assis confortablement dans mon portique où sont rangés tous mes kossins de vélo, casque, souliers, etc.  je m’étire doucement en enlevant mes souliers. Mes muscles se détendent. Je visualise ma sortie. Mon visage s’éblouit de satisfaction, du devoir accompli. Mon cell quelque part me signale déjà des « Kudos » de ma sortie, qui s’est déjà téléchargée dès mon arrivée. Boisson de récup à la main avec quelques friandises, je vérifie tout de même mes résultats, voir si mes impressions s‘avèrent juste. Remis en justes perspectives, ai-je si bien travaillé que cela? La réponse est oui. Mission accomplie. Tu peux aller te doucher mon Bob.

Ma blonde rentre de travailler. Je suis de bonne humeur. J’ai eu le temps d’aller faire les courses, peut-être même d’avoir fait le souper. Je mérite ma bière ou mon verre de vin. Après avoir fait le bilan de notre journée en famille, une douce étreinte, il est 23h et je m’abandonne dans profond sommeil vide d’aucune préoccupation. Une journée parfaite.

7h30 le lendemain, je termine en un temps de le dire ma job d’hier qui me tracassait. J’en rédige le rapport dans le temps de le dire. Tout est parfait et à mon goût. La journée est pluvieuse comme prévu. Je ne m’en fais pas. Je surfe encore sur l’adrénaline d’hier. Je suis super allumé. Je vais prendre de l’avance et si demain il fait beau bien…On recommencera.


 Coach BOB la gazelle!
--------- __o
------- _-\ <,' 
Aussi un rouleur!
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