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vendredi 28 mars 2014

Savoir faire des compromis...

Je ne savais pas trop sous quel thème je devais classer cette nouvelle aujourd’hui. Je me suis même demandé si je ne devais pas la mettre dans mes Courriers du Bike Cœur, parce que je dois l’admettre, l’athlète dont je vais vous parler aujourd’hui est d’une très grande sagesse. Il fait preuve de beaucoup d’humilité et il est un exemple incontestable à mon point de vue, de ce tout ce qu’un cycliste de haut calibre doit faire pour demeurer heureux dans sa vie de couple; être capable de faire des compromis.

Je connais trop de mes amis(e) qui ne sont pas capables de vivre pleinement leur vie de couple. Donc de faire des compromis. Tout s’écroule autour d’eux à cause de leurs foutus entraînements. Ils ne sont définitivement pas capables de gérer leur vie en conséquence. Et n’allez pas croire que je suis plus smatte qu’eux autres là. Non loin de là, mais pas du tout. Je dirais même que j’ai une feuille de route très peu reluisante « à cet égard » pour parler comme Mme. Marois hi hi hi. Dans les faits, je ne vais même pas à la rotule de mon chum Jean gascon que plusieurs d’entre vous connaissent sûrement.
Jean Gascon, été 2012

Et si vous ne le connaissez pas, dites-vous qu’il est dans la très jeune soixantaine (désolé Jean), qu’il s’entraîne 12 mois par année, il fait bien sûr du vélo de route, il fait la barbe à pas mal de monde plus jeune que lui, il me décroche d’une facilité déconcertante dans les montées, il fait du ski de fond sur les Plaines d’Abraham presque tous les jours d’hiver (La Commission des Champs de bataille pense lui dédicacer un endroit sur les Plaines) il joue au golf une fois par semaine avec sa femme et ses amis de couple l’été, il fait plus de 8 000 kilos de vélo par été et il s’occupe de sa femme. Et parmi ces petites attentions, bien monsieur emmène Jocelyne en voyage. Et oui ils sont de grands voyageurs aussi. Et on s’entend, sa femme est tout à fait capable de s’emmener elle-même en voyage ($), mais elle apprécie que son chum accepte les destinations de son choix et la disponibilité qu’il lui accorde.

Regardez le petit clip qui suit et vous comprendrez le sens de mes propos aujourd’hui, Surveillez bien la réaction de Jean aux observations que sa femme fait durant leur randonnée. Quand vous serez serein comme Jean dans la vie, vous pourrez dire que vous êtes fort, très fort!

Jean, tu sais combien je t’aime. Je t’embrasse même et j’ai très hâte de rouler avec toi dans quelques semaines à ton retour de Californie.
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Excuses par rapport à mon texte intitulé « Un printemps tardif »


Je désire présenter mes plus sincères excuses auprès de Jean-Marie Amyot de qui je parlais sans le savoir dans ce texte à partir d’échos que je ramasse ici et là. Vous savez quand on fait un blogue comme je fais, et qu’on se paye la gueule du monde des fois, bien on se met parfois les pieds dans les plats. Or, j’ignorais au moment d’écrire ce texte que Jean-Marie, soit disant concerné par mes ragots, avait fait un infarctus en ski de fond il y a quelque jours. Il est en convalescence chez lui et il va mieux parait-il et je lui souhaite prompt rétablissement et j’espère pouvoir le prendre dans mes bras avant une ride de vélo très prochainement. Je suis vraiment désolé JM de t’avoir offensé de la sorte. Je ne suis pas fier de moi et je te présente à nouveau mes plus sincères excuses. 

Coach BOB la gazelle!
--------- __o
------- _-\ <,'  
Aussi un rouleur!
----- (_)/(_) 

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