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Photo prise au ravitaillement au lac Sept-îles |
Mercredi de cette semaine avait lieu la dernière sortie du Regroupement d’affaires à Vélo de Québec (RAV) au Club de golf du lac
St-Joseph.
Je pourrais vous dire plein de choses à propos de cette
sortie à vélo comme j’ai souvent fait dans le passé. Le petit compte rendu
habituel : je pourrais vous dire qu’elle fut encore couronnée de succès
par sa participation et l’accueil qu’on a eu au club de golf, qu’il a fait beau
malgré quelques petits nuages menaçants en début de journée, que le monde avait
tous un regard éclatant, que le parcours était super malgré le vieillissement du
pavé à certains endroits, que j’avais les jambes en feux, que rien ne pouvait m’arriver,
et que je me suis payé la traite en ouvrant la machine sans crainte de
défaillance.
Non, ce n’est pas ce dont je veux vous parler. Mais, plutôt
de comment je me suis senti à mon retour à la maison hier soir. Les poignées de
mains et les accolades à la fin du souper pour se souhaiter un bel hiver ou à
la prochaine, sans trop savoir quand, parce que nos chemins se séparent en
quelque sorte, m’émeuvent et me rendent triste. Je suis membre du RAV depuis
ses débuts et je dois admettre que plusieurs de ses membres sont devenus de
très bons amis à moi, et ce, même en dehors des activités du RAV. Ils sont
devenus de vrais(e) amis(e). Mais il y a également tous les autres qui sont
fidèles au rendez-vous d’une saison à l’autre et avec qui je me plais d’échanger,
de sourire, de demander comment a été leur ride, parce que nous formons tous
une grande famille. Et je vais m’ennuyer de vous autres aussi, parce que j’adore
cette camaraderie qui nous lie tous dans le RAV.
Je me sens également triste parce que la fin des activités
du RAV n’a rien d’un début de vacances, mais plutôt le signe d’une fin de
saison de vélo qui arrivera sous peu avec l’entrée des classes et le retour à
des activités professionnelles plus mouvementées.
Je ne sais pas comment vous vous êtes tous sentis hier ou ce
matin quand vous vous êtes levé les jambes raides, en tout cas, moi, c’était de
même.
À tous mes compagnons de route, je veux tous vous dire jusqu’à
quel point j’ai aimé rouler en votre compagnie, vous avez égayé mes journées et
vous m’avez fait du bien.
Merci à l’organisation, à ses membres bénévoles, à ses
commanditaires qui, sans eux, je n’aurais pas connu tous ces petits moments de
bonheur qui me rendent nostalgique sur le clavier ce matin.
Je vous aime tous les amis.
Coach BOB la gazelle
--------- __o
------- _-\ <,' Aussi un rouleur!
----- (_)/(_)
------- _-\ <,' Aussi un rouleur!
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